Le numéro 13 de Mot à Maux paraît avec le retour de l’été. Quoi de mieux pour accompagner un après-midi de bronzage, que de lire un peu de poésie à la plage ? Mot à Maux, c’est moins cher que Mc Donald et c’est meilleur. Alors évitez les "fast-foods" et précipitez-vous chez l'épicier du coin. C'est garanti sans pesticides et élevé à la ferme. S’il vous reste un peu de sous, merci de penser à la poésie. Ici, on lit de jeunes auteurs fraichement arrivés sur la scène. Alors, pourquoi ne pas tenter un abonnement ?
Je lance un appel à textes pour le numéro 14 de septembre 2020. Ma règle est simple : le coup de cœur, l’intelligence du sens et la qualité d’écriture. Je recherche une langue affirmée, au plus près du monde et du poème, censée nous faire réfléchir au quotidien qui est le nôtre et nous donner des repères. Alors, à vos plumes et merci de contribuer à la marche de la revue.
La revue n’a aucune ressource financière autre que les commandes et les abonnements. Il n’y a aucune subvention, aucune aide extérieure. Votre soutien est donc nécessaire. Lire une revue c’est aider les poètes à porter haut et fort leur voix. C’est être au plus près des écritures contemporaines. Il y a beaucoup de sollicitations extérieures et souvent vous êtes abonnés à plusieurs revues. N’hésitez-pas à faire connaître Mot à Maux. C’est ainsi que vous contribuerez à la difficile mission de porter la poésie dans un monde qui en manque terriblement.