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Il est né !

  • Numéro spécial

    Le thème du numéro 17 est "S'ouvrir au monde". 13 poètes sont au sommaire pour offrir une poésie proche de l'homme et de ses interrogations. 116 pages de lecture pour aller à l'encontre de ce monde de vitesse et de compétition. Chacun nous enchante de sa voix particulière, une parole originale qui mérite notre attention. Et l'on se prend à rêver de la réconciliation du poète avec cette société qui l'ignore... Quand la richesse intérieure rejoint la marche du monde et ouvre une porte inaccessible : celle de l'homme au plus juste de son temps.

    Je réunis en pièces jointes les documents pour toute commande de Mot à Maux concernant cette année 2021. Merci à ceux et à celles qui me soutiendront dans ma démarche éditoriale, que ce soit avec ou sans abonnement. Le principal est que la poésie soit diffusée et que ma revue trouve ses lecteurs.

    Mot à Maux est au service des poètes, ne fait pas de bénéfices et maintient son activité à flot grâce à l'altruisme de son animateur. La revue est faite grâce aux commandes amicales et à mes propres deniers. Mon dogme c'est la générosité, le partage.

    Je recherche les futurs auteurs de la revue. Une parole qui nous éclaire dans ce monde de ténèbres où les paillettes font la réalité. Que vous soyez décalés ou révoltés, sur le pavé ou au lit, perdus ou sur de nouvelles traces, envoyez-moi votre poésie ! Il convient de croire encore à l'action de l'homme. Ce que vous avez à dire intéresse Mot à Maux. Je lis, je recherche, je traque... Ma soif de paroles est insatiable. Merci de m'adresser vos textes par courriel. Qui sait ? Peut-être nos chemins se croiseront-ils un jour ?

     

    Documents pour toute commande :

    Flyermam17.pdf

    Commande 2021.pdf

     

  • Qui aura la fève ?

    Il est tout chaud sorti du four le Mot à Maux n°15. Et dire que c’est bientôt la galette des rois… Frangipane ou à la pomme ? Pas de poésie sous le sapin… le Père Noël a eu une panne de traîneau ! Heureusement Amazon fonctionne bien et nous livre toujours d’aussi beaux cadeaux inutiles et joyeux ! Le gros camion d’Amazon est passé par la cheminée, le wifi 4G étant saturé ! On vous annonce la 5G, une catastrophe écologique de plus… pour nous permettre de chater avec les esquimaux, tant qu’ils ont encore la banquise pour faire pousser leurs bonhommes de neige ! Mais bon, le monde ne va pas s’arrêter de tourner pour une panne de wifi ! Espérons que cette année, Internet ne soit pas atteint d’un virus planétaire paralysant nos infrastructures numériques… J’en serais malade de ne pas pouvoir m’exprimer ici et là. Seule la parole peut sauver le monde, tant on a dit de conneries depuis l’invention de la pile électrique. Alors, voilà… si le monde tourne rond, on pourra se pavaner enfin dans les jardins de Central Park. Reste qu’il faille prendre l’avion et participer au réchauffement climatique… Mais je ne vais pas y aller en bateau ! (J’ai le mal de mer). Non, moi je dis que ce monde est un effroyable gâchis, les gens veulent toujours plus de croisières, les footballeurs prennent l’avion, en veux-tu, en voilà ! Les porte-conteneurs sillonnent la planète… Tout est normal, c’est la société de surconsommation. Le supermarché international. L’orgie planétaire. C’est pourtant bien Noël et tous ces cadeaux ! Le sapin, les boules, les guirlandes… on est tranquille jusqu’à l’année prochaine. En attendant, n’oubliez pas les soldes. Et pensez à commander Mot à Maux (ça pourrait m’aider à payer toutes mes factures). Et s’il vous reste un peu de foie gras, je prends aussi. Qui sait ? Demain je serai peut-être à la rue !

    Mot à Maux n°15 : Lise Debelroute, Alexandra Bouge, Victor Malzac, Jean Chatard ; Georges Cathalo, Daniel Hartmann, Eric Chassefière. Décembre 2020. 4 euros.

    Me contacter pour toute commande.

  • Numéro 14

    Il est de bon ton de se demander où en est la poésie. Ne faut-il pas continuer à alimenter nos revues, en dépit de tous les obstacles qui se présentent sur notre chemin ? Le poète peut rêver de changer le monde, mais sa parole n’a jamais été aussi loin d’une hypothétique révolution. Les ennemis sont trop puissants, l’argent gouverne nos vies. Chacun résiste comme il peut. Les revues survivent un peu miraculeusement. Mot à Maux est de celles-là ! Vous êtes nombreux à me faire confiance et cela me touche. Mon combat c’est la poésie. Je ne suis pas engagé dans une action politique. Je laisse cela à d’autres, bien plus aguerris que moi aux faits de notre temps. Je refuse de brader la poésie et de me compromettre dans un autre combat. La poésie se suffit à elle-même, elle n’a pas besoin de se renier dans le moule de la société. La poésie est libre. Elle est l’expression de l’âme. Si une action est possible, c’est autour de notre travail au sein de nos revues. Cela n’est pas grand-chose. Les revues naissent puis meurent. Un certain désespoir s’installe. Les idées s’expriment comme elles peuvent. Dans ces conditions, comment les revues pourraient-elles exister autrement que librement ? Chacun nous menons « un effroyable combat » ! Une certaine diversité semble s’imposer aujourd’hui. Croyons en la jeunesse pour redonner à la poésie un supplément d’âme. Que nos rêves puissent s’exprimer ouvertement.

    Pour commander ce numéro 14 ou pour toute contribution, merci de prendre contact avec moi.

    Auteures au sommaire : Anne Barbusse, Amália Cardoso, Françoise Geier, Yvette Vasseur, Marie Desmaretz.