Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La vie des mots - Page 13

  • Référendum

    Mot à Maux s'absente quelques jours car le petit garçon est invité à l"espace Harmattan à l'occasion de la sortie d'un livre sur Rimbaud de Mireille Disdero, Isabelle Baumont, Alain Castets entre autres auteurs, et de celle du dernier numéro des Cahiers de l'Alba. Je me rends compte par ailleurs que l'appel lancé aux abonnements est en quelque sorte une souscription. En effet, je pose un seuil à un nombre d'abonnés que je n'ai pas encore défini, sans un certain nombre de personnes qui me feront confiance pour continuer l'aventure et me soutiendront pour que la revue continue et s'améliore, je ne pourrai pas effectuer le travail nécessaire. Le nombre d'auteurs publiés en trois numéros est de 37, chacun recevant un exemplaire gratuit de la revue, sans compter les exemplaires de presse et les inévitables dons. Sans un seuil d'abonnements acceptable, je ne pourrai pas équilibrer mes comptes. C'est terrible de parler argent en ce qui concerne une passion telle que la poésie. Il est terrible d'être limité par des considérations qui la limitent en fin de compte. Mais la réalité est là. J'ai bien conscience que les auteurs sont souvent sollicités par d'autres abonnements, la poésie a un coût. Cependant une revue ne vit que par ses abonnés et je viens d'en expliquer les raisons. La passion et le cœur à l'ouvrage ne suffiront pas. Dans le cas où cette entreprise ne fonctionnerait pas à cause du manque d'abonnés, tous les chèques seront alors retournés et aucun ne sera débité. Le numéro 4 paraîtra normalement en fin d'année, quelque soit l'état des abonnements. Ensuite, ce sont ces derniers qui décideront du sort de la revue et il sera peut-être temps de penser à une autre forme de publication, plus légère, moins onéreuse, mais l'esprit survivra tout de même ! Le sort de la revue dans son format traditionnel est entre vos mains.

  • Anthologie de la poésie de langue française du début du XXIe siècle

    De la part de Laurent Fels :

    " Dans le cadre d'un projet de recherche qui vise l'élaboration d'une importante anthologie de la poésie de langue française du début du XXIe siècle, je prierais tous les poètes francophones contemporains de me faire parvenir 4-6 textes inédits ou exempts des droits de reproduction (vers ou prose), leur biographie avec photo et leur bibliographie complète (titres des publications, lieu d'édition, éditeur, année de parution, nombre de pages. Pour les revues : titre de la revue, numéro et année de parution, lieu d'édition, éditeur, nombre de pages. Pour les recueils collectifs: titre du recueil, éventuellement nom du directeur de la collection, lieu d'édition, éditeur, année de parution, nombre de pages).

    Chaque envoi doit être suivi de la mention « Je donne mon accord à la publication des textes suivants (citez les titres), de ma biographie avec ma photo ainsi que de ma bibliographie dans l'anthologie de la poésie du XXIe siècle qui est préparée par Laurent Fels. ». Les intéressés doivent envoyer eux-mêmes leurs textes. Chaque participant sera informé par courriel de la parution de l'anthologie en question.

    Critères de participation : avoir publié soit au moins un recueil à titre personnel, soit au moins deux poèmes dans une revue ou sur un site littéraire.

    Envoyez le tout à laurent.fels@cahiers-de-poesie.fr.st avec le titre « Anthologie ».

    La date limite de l'envoi des textes sera le 30 juin 2006.

    La publication de l'anthologie est prévue dans un hors série de la revue Les Cahiers de Poésie.

    Dans l'espoir que vos contributions seront nombreuses, je vous prie d'agréer l'expression de ma parfaite considération. "

  • Rentrée des classes

    Ayant enfin pu trouver un "chez moi" et résoudre des difficultés de connexion, je peux enfin me remettre au travail ! Pas mal de boulot en retard, donc, mais ce second numéro, aussi pénible fut-il à sortir, s'enrichit de beaucoup de liens et de rencontres.

    L'occasion me fut donnée ces jours-ci de rencontrer dans la Vienne (86) un projet de médiathèque et d'avoir été invité afin de parler de Mot à Maux. La revue étant montée à la librairie "L'écume des pages"  à Paris pour redescendre à Vouillé, un chemin assez bizarre, mais qui prouve que la poésie vit de ces liens.

    La poésie, pour le commun des mortels, plane au-dessus de nos têtes, comme quelque chose de surnaturel, une sorte de rêve ou de chimère, quelque chose d'hors du monde en tout cas. Et pourtant la poésie c'est la vie... je ne vois pas trop ce que l'on peut en dire d'autre... avec tout ce que cela suppose de difficultés, de batailles à mener.

    Enfin si la poésie peut vivre dans la culture c'est grâce à tous ces projets, ces entreprises multiples, ces chemins complémentaires. Comme toute autre revue, Mot à Maux est un maillon de la chaîne. Son entreprise pour cette rentrée est d'en montrer toute la richesse, afin que la poésie VIVE !