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Mot à Maux - Page 3

  • Numéro spécial

    Le thème du numéro 17 est "S'ouvrir au monde". 13 poètes sont au sommaire pour offrir une poésie proche de l'homme et de ses interrogations. 116 pages de lecture pour aller à l'encontre de ce monde de vitesse et de compétition. Chacun nous enchante de sa voix particulière, une parole originale qui mérite notre attention. Et l'on se prend à rêver de la réconciliation du poète avec cette société qui l'ignore... Quand la richesse intérieure rejoint la marche du monde et ouvre une porte inaccessible : celle de l'homme au plus juste de son temps.

    Je réunis en pièces jointes les documents pour toute commande de Mot à Maux concernant cette année 2021. Merci à ceux et à celles qui me soutiendront dans ma démarche éditoriale, que ce soit avec ou sans abonnement. Le principal est que la poésie soit diffusée et que ma revue trouve ses lecteurs.

    Mot à Maux est au service des poètes, ne fait pas de bénéfices et maintient son activité à flot grâce à l'altruisme de son animateur. La revue est faite grâce aux commandes amicales et à mes propres deniers. Mon dogme c'est la générosité, le partage.

    Je recherche les futurs auteurs de la revue. Une parole qui nous éclaire dans ce monde de ténèbres où les paillettes font la réalité. Que vous soyez décalés ou révoltés, sur le pavé ou au lit, perdus ou sur de nouvelles traces, envoyez-moi votre poésie ! Il convient de croire encore à l'action de l'homme. Ce que vous avez à dire intéresse Mot à Maux. Je lis, je recherche, je traque... Ma soif de paroles est insatiable. Merci de m'adresser vos textes par courriel. Qui sait ? Peut-être nos chemins se croiseront-ils un jour ?

     

    Documents pour toute commande :

    Flyermam17.pdf

    Commande 2021.pdf

     

  • Appel à textes

    Vous écrivez ? Vous avez les mots qui vous dévorent, le stylo qui vous démange… Vous voulez me proposer des textes. Mot à Maux est là pour ça. Je publie ce qui me touche, ce qui porte sens. Je recherche des talents, des plumes qui sauront apporter leur pierre sur le chemin de l’écriture. Je souhaite rendre au poème, à la parole écrite, le sens d’un engagement qui concerne tous les aspects de la vie. Je ne cherche pas de poésie rose bonbon mais des voix irritées, hantées par la révolte et le désir absolu de vivre. Vous écrivez ? Eh bien, lisez maintenant… De nombreuses revues existent qui ne peuvent vivre que par vous. C’est un fait, la poésie est autarcique. Elle peut grâce à vous devenir l’énergie de demain.

    La revue Mot à Maux est toujours active et trimestrielle. Merci d’envoyer vos textes à brochardda85@gmail.com

     

  • Dernière note

    Le blog Mot à Maux prend sa retraite. Déjà un miracle d’être parvenu jusque-là ! Quinze années d’attention à ce monde m’ont convaincu de sa violence. Il n’y a jamais de répit ici-bas, les mots nous frappent tel le jugement de Dieu. Je ne fais pas partie de ces gens normaux pour qui le plaisir est l’unique ambition, pour qui la vie est facile (oh, mais on a chacun ses soucis vous savez !) Pour moi la vie est un calvaire permanent ! Faire ressortir ce qu’il y a de meilleur en soi, voilà un des objectifs de la poésie… Un mot que je me répète à tout bout de champ ! Comme s’il s’agissait d’une prière adressée à l’homme ! Allons, il n’est peut-être pas perdu après tout… Je dois croire un peu en lui encore… Sinon, à quoi bon ? Il n’a pourtant pas beaucoup de valeur à l’échelle du cosmos, lui qui a réussi à annihiler toute morale… Alors, oui, c’est pour les pauvres, les malheureux, les malades que j’écris ! L’amour que j’ai pour la différence, pour les peuples opprimés, pour les miséreux que la vie n’a pas épargnés… tout cela vient du cœur, d’une foi profonde en l’homme, malgré tout ! Ecrire, cette activité futile au regard de la machine économique, permet de rester connecté et en vie. Je vois le monde à travers les yeux d’Internet. Et pourtant c’est le monde lui-même qui me fait respirer. Cette double face de l’écran et du livre me donne un peu de sens… un mot de circonstance face aux ténèbres et à l’absurdité de l’existence.  L’Art apporte des réponses, quand l’existence devient impossible. Car rien n’a de sens. Seule la création permet de se libérer du non-sens. Seule la confrontation à l’acte de créer permet d’éclairer notre vie. Il y a une force divine en nous, qui nous relève de tous les malheurs. Cette faculté à dire la beauté est un miracle permanent. Nous ne sommes que les passeurs d’un monde de ténèbres à la lumière divine. Il faut entretenir cette richesse. Pour l’âme des  hommes, pour la nôtre. Croire que nous faisons partie d’un Grand Tout, que notre mission ici-bas a la valeur d’un sacerdoce. C’est beau la vie, quand même, non ? Un monde sans poésie serait bien dérisoire. Mais la poésie est dérisoire ! Comment comprendre cette contradiction ? Par la force de l’esprit ! Je crois en l’esprit des hommes, en leur singularité. Car chacun a sa place dans ce monde, surtout les plus malheureux, les déshérités. Chacun peut apporter du sens dans le combat de la vie. Modestement, j’essaie de transcrire cette idée, avec l’ambition première d’entendre des voix nouvelles, jeunes, pleines d’avenir. Il faut vivre avec le cœur d’une poésie libre, affranchie, novatrice. Chacun peut entrer potentiellement au service de la poésie. Pour moi, l’aventure du blog Mot à Maux s’arrête ici ! J’appelle aux idées, à la rage et à la présence de tous les auteurs pour continuer à faire vivre la revue Mot à Maux sous son format papier. Car évidemment, nulle volonté de ma part d’abandonner cette revue pour laquelle je me suis tant battu ! Appel aux amis : rejoignez les rangs de Mot à Maux ! Donnez une chance à la revue de poursuivre son chemin. Rien n’est plus important pour moi que de recueillir vos témoignages de vie. Car, oui, je crois que c’est entré dans mes gènes : œuvrer pour la parole, car seule la parole nous rassemble. Ceux qui savent la valeur du livre dans le petit commerce de la poésie qui est le nôtre sauront m’apporter leur contribution. Comme toutes les revues, j’ai besoin de lecteurs, d’auteurs qui me proposeront leurs textes et d’amis pour diffuser Mot à Maux. Car nulle question d’abandonner le combat ! Pour clore cette aventure, pour me consacrer pleinement à une autre (la peinture), il m’a semblé que quinze ans suffisaient. La revue continue sous son format papier. J’ai pour ma part pour objectif personnel d’ouvrir mon atelier au public dès ce printemps. A tous les amis qui m’ont soutenu depuis le début de Mot à Maux, un grand merci ! Et aux autres qui m’arriveront : bienvenue ! Seuls, nous  ne sommes rien, ensemble nous pouvons unir nos forces pour que la poésie prenne sens et continue d’éclairer nos vies.