Ayant enfin pu trouver un "chez moi" et résoudre des difficultés de connexion, je peux enfin me remettre au travail ! Pas mal de boulot en retard, donc, mais ce second numéro, aussi pénible fut-il à sortir, s'enrichit de beaucoup de liens et de rencontres.
L'occasion me fut donnée ces jours-ci de rencontrer dans la Vienne (86) un projet de médiathèque et d'avoir été invité afin de parler de Mot à Maux. La revue étant montée à la librairie "L'écume des pages" à Paris pour redescendre à Vouillé, un chemin assez bizarre, mais qui prouve que la poésie vit de ces liens.
La poésie, pour le commun des mortels, plane au-dessus de nos têtes, comme quelque chose de surnaturel, une sorte de rêve ou de chimère, quelque chose d'hors du monde en tout cas. Et pourtant la poésie c'est la vie... je ne vois pas trop ce que l'on peut en dire d'autre... avec tout ce que cela suppose de difficultés, de batailles à mener.
Enfin si la poésie peut vivre dans la culture c'est grâce à tous ces projets, ces entreprises multiples, ces chemins complémentaires. Comme toute autre revue, Mot à Maux est un maillon de la chaîne. Son entreprise pour cette rentrée est d'en montrer toute la richesse, afin que la poésie VIVE !